• Bonsoir.

    Voici deux nouvelles poésies, à l'aube du printemps.

     

    L'homme aux yeux doux.

    Tu as une belle âme et tes yeux sont si doux.

    Tu es comme une offrande que l'on pose à genoux.

    Tu es comme une pierre précieuse, un vrai bijou,

    tu ravives la flamme d'un feu qui n'est plus flou.

     

    Tu as conquis mon monde intérieur et surtout,

    tu es entré dans la ronde de mes plus beaux atouts.

    Tu as lancé la fronde jusqu'à mon coeur debout,

    tu as fait que se fondent mes peurs et mes dégoûts.

     

    Toi l'homme impassible, profond et mystérieux,

    je vais lancer ma cible au plus profond de tes yeux,

    et reposer mon âme, au plus prés de ton coeur,

    pour apaiser la flamme qui brûle mon intérieur.

     

    Tu as une belle âme et tes yeux sont si doux...

    Tu ravives la flamme d'un feu qui n'est plus flou.

     

     

    A nos riches compagnons.

    On n'est pas de la même race,

    on ne se ressemble pas du tout,

    mais vous avez de la place

    là, tout auprès de nous.

    Et dans le temps qui passe,

    depuis les temps jadis,

    il n'y a rien qui lasse,

    vous nous avez servi.

     

    Dans vos yeux, dans vos gestes,

    quelquefois un peu fous,

    il y a toujours qui reste,

    de la tendresse pour nous.

    Même si certains dépassent

    le respect, les limites,

    il faut bien que se passe,

    notre amour sans une fuite.

     

    Merci d'être fidèle,

    ami ou bien conquête,

    avec ou dépourvus d'ailes,

    vous nous faites la fête.

    Restez auprès de nous,

    si riches compagnons,

    allez, élevez-nous,

    sans paroles, sans façons.

     

     


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